En effet après un examen clinique, l’échographie permet d’affiner le diagnostic, d’authentifier certaines lésions afin de déterminer un délai de cicatrisation. L’échographie est une imagerie superficielle et peut parfois être complétée par un scanner (TDM) ou une IRM (imagerie par résonnance magnétique).

La mésothérapie est l’injection locale et très superficielles (intra-épidermiques, intra-dermiques ou hypodermiques) de faibles doses de médicaments autour de la zone douloureuse. Après une asepsie rigoureuse, à l’aide d’un pistolet de mésothérapie, le médecin injecte des petites quantités de traitement. Cette technique est utilisée dans les douleurs chroniques, lombalgies, tendinites chroniques et permet de passer un cap dans la rééducation. Elle peut aussi être proposée dans les algo neurodystrophies, qui restent des pathologies complexes et douloureuses.

Après un prélèvement sanguin, celui-ci est centrifugé afin de recueillir le plasma avec une concentration entre 3 et 5 fois la concentration habituelle de plaquettes. Ce PRP est alors réinjecté dans l’articulation, le tendon voir le muscle en respectant les recommandations des sociétés savantes et du GRIIP (Groupe de recherche international sur les injections de plaquettes). Le PRP tout comme les infiltrations doit être réalisé à bon escient, c’est-à-dire pour le bon diagnostic, au bon patient. Le PRP est également réalisé sous contrôle échographique et dans des conditions d’asepsie optimales.

Vous consultez avec des symptômes, le plus souvent une ou des douleurs. Le médecin du sport recherche le mode de survenu de la douleur, le type d’activité pratiquée lors de l’accident puis pratique une enquête clinique afin d’établir un diagnostic. Ce cheminement est essentiel pour prendre les décisions adéquates et enfin établir une stratégie thérapeutique adaptée au sportif et à ses objectifs. Le tout pour aboutir à un protocole de guérison et de retour au sport le plus rapide et le plus efficace. Mais il est aussi primordial de prévenir toute récidive, c’est le rôle du médecin du sport.

En effet après un examen clinique, l’échographie permet d’affiner le diagnostic, d’authentifier certaines lésions afin de déterminer un délai de cicatrisation. L’échographie est une imagerie superficielle et peut parfois être complétée par un scanner (TDM) ou une IRM (imagerie par résonnance magnétique).

Il ne permet le plus souvent pas de guérir seul, mais permet par son action anti inflammatoire de limiter les douleurs et de continuer le processus de guérison et de rééducation. Il est réalisé sous contrôle échographique pour plus de précision, dans des conditions d’asepsie rigoureuse.

La mésothérapie est l’injection locale et très superficielles (intra-épidermiques, intra-dermiques ou hypodermiques) de faibles doses de médicaments autour de la zone douloureuse. Après une asepsie rigoureuse, à l’aide d’un pistolet de mésothérapie, le médecin injecte des petites quantités de traitement. Cette technique est utilisée dans les douleurs chroniques, lombalgies, tendinites chroniques et permet de passer un cap dans la rééducation. Elle peut aussi être proposée dans les algo neurodystrophies, qui restent des pathologies complexes et douloureuses.

Après un prélèvement sanguin, celui-ci est centrifugé afin de recueillir le plasma avec une concentration entre 3 et 5 fois la concentration habituelle de plaquettes. Ce PRP est alors réinjecté dans l’articulation, le tendon voir le muscle en respectant les recommandations des sociétés savantes et du GRIIP (Groupe de recherche international sur les injections de plaquettes). Le PRP tout comme les infiltrations doit être réalisé à bon escient, c’est-à-dire pour le bon diagnostic, au bon patient. Le PRP est également réalisé sous contrôle échographique et dans des conditions d’asepsie optimales.